BK HR : quand la clarté
des calculs change tout
Temps de lecture 5 min.
11 décembre 2025
Quand un client demande pourquoi sa base CP a bougé d'un mois sur l'autre, le gestionnaire de paie a deux options. Soit il passe quinze minutes à fouiller, extraire, recalculer, reformuler. Soit il envoie une capture d'écran et passe au dossier suivant. Chez BK HR, cette différence est devenue concrète depuis que l'équipe travaille avec Linc.
Gestionnaires au pôle BPO
Bulletins traités par mois
Un cabinet qui a vu passer beaucoup d'outils
BK HR est un cabinet de conseil et d'externalisation RH basé en Île-de-France. 60 consultants, 7 millions d'euros de chiffre d'affaires, trois métiers : régie, conseil, externalisation de paie. Le cabinet accompagne des entreprises de toutes tailles, parfois sur des logiciels imposés par leurs directions, parfois sur des outils choisis ensemble.
Siham Youss dirige le pôle BPO depuis 2019. Vingt ans de paie derrière elle, dont 10 en cabinet comptable et 7 chez un éditeur. Elle a produit, managé, formé. Elle a vu des outils naître, vieillir, être remplacés. Son équipe jongle avec plusieurs logiciels selon les missions, ce qui leur donne un point de vue assez net sur ce qui marche et ce qui fatigue.
"Je n'ai pas voulu spécialiser l'équipe par logiciel.
Les filles voyaient ça comme de l'ennui, quelque chose de trop répétitif.
La polyvalence, c'est ce qui les fait progresser."
— Siham Youss, directrice du pôle BPO
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Pourquoi tester Linc
Quand BK HR a commencé à travailler avec Linc, le produit était encore jeune. Ce qui a fait la différence, ce n'était pas une liste de fonctionnalités. C'était plus simple : l'équipe Linc venait du métier. Ils connaissaient les fins de mois tendues, les questions de DAF qui tombent à 17h, les conventions collectives qui changent sans prévenir. Ils parlaient comme des gens de la paie, pas comme des commerciaux.
L'équipe de Siham voulait aussi autre chose : participer à la construction d'un produit, voir ce que ça change de bosser avec un éditeur qui écoute, qui vient en immersion dans les cabinets, qui intègre les retours dans ses développements.
"Vous étiez tous issus de la paie. Vous connaissiez les enjeux,
les contextes. On parle le même langage."
C’est une attente simple. Et pourtant, elle est encore rarement satisfaite.
Ce que ça change au quotidien
Changement 1 : Des traces de calcul qu'on peut lire
Sur la plupart des outils, vérifier un calcul prend du temps. Il faut extraire, croiser, parfois recalculer soi-même pour comprendre ce qui s'est passé. Quand un client pose une question sur une régularisation ou une base CP, le gestionnaire doit fouiller avant de répondre. Ce temps passé à chercher, c'est du temps en moins pour le conseil, pour la relation, pour tout ce qui fait la valeur du métier.
Avec Linc, c'est différent. Les traces de calcul sont écrites en clair. Pas de formules cryptiques, pas besoin de décoder. On comprend ce qui s'est passé, on peut l'expliquer, on peut l'envoyer tel quel au client.
Changement 2 : Un produit qui avance vite et dans le bon sens
Les gestionnaires de BK HR utilisent plusieurs outils dans le mois. Sur la plupart, les mises à jour sont subies. On découvre les changements, on s'adapte, on espère que rien n'est cassé. Avec Linc, c'est l'inverse. Les évolutions sont attendues, parfois demandées par l'équipe elle-même. Le produit bouge vite, et dans une direction qui fait sens pour celles qui l'utilisent tous les jours.
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Changement 3 : Du support, pas du silence
Changer d'outil, c'est toujours un peu déstabilisant. Les premières semaines, il y a des questions, des ajustements, des moments de doute. Ce qui a compté, c'est la réaction de Linc. Les tickets sont vite traités. Les réponses sont claires, pédagogiques. L'équipe prend le temps d'expliquer, pas juste de corriger. Quand il y a un problème, il y a une réponse. Quand il y a une suggestion, elle est entendue.
Construire Linc avec vous
Quand on demande à Siham ce qu'elle dirait à un directeur de pôle social qui hésite, elle ne parle pas de fonctionnalités. Elle parle de relation. De la différence entre un éditeur qui vend un produit fini et un éditeur qui construit avec ses utilisateurs.
Ce que ça dit du métier
Le gestionnaire de paie n'a pas besoin d'un outil plus puissant. Il a besoin d'un outil plus lisible. La valeur du métier, elle est dans le contrôle, dans l'explication, dans la relation client. Pas dans la saisie, pas dans la recherche d'information, pas dans le temps passé à comprendre ce qu'un moteur de calcul a fait.
Linc ne promet pas de tout automatiser. Linc promet de rendre le travail plus clair. Pour le gestionnaire, pour le cabinet, pour le client.
C'est peut-être ça, le vrai différenciateur : construire avec les cabinets, pas à côté.
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